Nouvelles
21.08.2022
La lettre d'information du Musée Virtuel Richard Wagner (Lohengrin en décors naturels)
"LOHENGRIN EN DECORS NATURELS"
Cet été, LE MUSÉE VIRTUEL RICHARD WAGNER a choisi de faire voyager ses lecteurs et adhérents à travers les lieux traversés par la vie de Richard Wagner, ceux dans lesquels il a placé l’intrigue de ses drames musicaux ainsi que ceux qui furent des sources d’inspiration pour le Maître de Bayreuth. Pour ce faire, nous reprenons avec bonheur dans les colonnes de notre site l’admirable travail d’Henri Perrier, “Richard Wagner en décors naturels”, un opus que nous partagerons ici, durant l’été, sous forme de “feuilleton” (un article par oeuvre). Une manière également pour LE MUSÉE VIRTUEL RICHARD WAGNER de rendre un vibrant hommage à son auteur, fondateur, avec son épouse Chantal, du Cercle Richard Wagner - Lyon et qui fut l’un des premiers à croire à notre projet, à le soutenir et l’encourager.
L'article de cette semaine nous propose une balade sur les traces de Lohengrin, depuis les bords de l'Escaut, près d'Anvers, en Belgique... à la cour intérieure du château de Neuschwanstein... à la recherche... d'un cygne, naturellement !
Bien que le lieu et l’époque où se passe l’action aient été précisés par l’auteur, Lohengrin n’est pas du tout un opéra historique, mais bien plutôt un conte merveilleux et allégorique pour lequel la recherche de décors naturels peut paraître superflue. En effet, l’atmosphère de rêve qui enveloppe cette légende nostalgique n’appelle pas particulièrement la rigueur historique et géographique, mais au contraire s’accommode fort bien d’une stylisation des décors poussée parfois jusqu’à l’abstraction. Pourtant, Wagner insista dans ses indications scéniques pour que les coutumes et les costumes de l’époque, c’est-à dire la première moitié du Xe siècle, soient restitués avec fidélité.
En revanche, les indications qu’il donna en matière de décors sont assez éloignées de la réalité : situer le burg d’Anvers au sommet d’une montagne, c’est presque un gag ou une histoire belge. D’ailleurs le Maître lui-même s’en rendit compte quand, en mars 1860, il profita d’un séjour à Bruxelles où il était venu diriger des concerts pour faire une excursion à Anvers.
Pour l'article dans son intégralité sur le site du Musée Virtuel Richard Wagner, cliquez ici.
Cet été, LE MUSÉE VIRTUEL RICHARD WAGNER a choisi de faire voyager ses lecteurs et adhérents à travers les lieux traversés par la vie de Richard Wagner, ceux dans lesquels il a placé l’intrigue de ses drames musicaux ainsi que ceux qui furent des sources d’inspiration pour le Maître de Bayreuth. Pour ce faire, nous reprenons avec bonheur dans les colonnes de notre site l’admirable travail d’Henri Perrier, “Richard Wagner en décors naturels”, un opus que nous partagerons ici, durant l’été, sous forme de “feuilleton” (un article par oeuvre). Une manière également pour LE MUSÉE VIRTUEL RICHARD WAGNER de rendre un vibrant hommage à son auteur, fondateur, avec son épouse Chantal, du Cercle Richard Wagner - Lyon et qui fut l’un des premiers à croire à notre projet, à le soutenir et l’encourager.
L'article de cette semaine nous propose une balade sur les traces de Lohengrin, depuis les bords de l'Escaut, près d'Anvers, en Belgique... à la cour intérieure du château de Neuschwanstein... à la recherche... d'un cygne, naturellement !
Bien que le lieu et l’époque où se passe l’action aient été précisés par l’auteur, Lohengrin n’est pas du tout un opéra historique, mais bien plutôt un conte merveilleux et allégorique pour lequel la recherche de décors naturels peut paraître superflue. En effet, l’atmosphère de rêve qui enveloppe cette légende nostalgique n’appelle pas particulièrement la rigueur historique et géographique, mais au contraire s’accommode fort bien d’une stylisation des décors poussée parfois jusqu’à l’abstraction. Pourtant, Wagner insista dans ses indications scéniques pour que les coutumes et les costumes de l’époque, c’est-à dire la première moitié du Xe siècle, soient restitués avec fidélité.
En revanche, les indications qu’il donna en matière de décors sont assez éloignées de la réalité : situer le burg d’Anvers au sommet d’une montagne, c’est presque un gag ou une histoire belge. D’ailleurs le Maître lui-même s’en rendit compte quand, en mars 1860, il profita d’un séjour à Bruxelles où il était venu diriger des concerts pour faire une excursion à Anvers.
Pour l'article dans son intégralité sur le site du Musée Virtuel Richard Wagner, cliquez ici.